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Tout le monde a
déjà au moins entendu parler de la fameuse "vague belge" qui déferla
sur la Belgique de 89 à 91 (92 ? 93 ? 94 ?), à moins peut-être d'habiter chez les
Papous depuis cinquante ans. Depuis, il n'y pas un site ufologique
digne de ce nom qui n'évoque cet événement retentissant, pas un seul
chercheur sérieux qui n'y fasse référence et, bien sûr, pas une
discussion de salon qui ne l'évoque. Mais fort est de constater
également qu'en dehors de l'excellent livre de la SOBEPS, composé de
deux tomes, le "VOB" comme on le nomme dans le jargon ufologique
(Vague belge d'OVNI sur la Belgique), beaucoup d'informations sont
tronquées ou déformées, la SOBEPS elle-même a fortement été décriée
après coup, certaines choses ont complètement été passées sous
silence ou ne sont accessibles au public que très indirectement,
certains points même - pourtant assez flagrants - n'apparaissent
nulle part, sauf dans le site du CERPI. C'est parfois pour cela que
le CERPI ne connaît pas que des amis. Le fait de dire la vérité ne
plaît pas toujours à tout le monde. Mais tout le monde n'a pas
toujours le courage de dire les choses en face et beaucoup préfèrent
se montrer hypocrites, donner des coups bas par traîtrise, ce qui -
à ce moment là - dénote bien leur mentalité et leur honnêteté...
Nous n'avons pas voulu nous contenter de vous présenter une énième
fois cette affaire déjà tant ressassée, que beaucoup croient
connaître. Nous ne la présentons ici que dans ses grandes lignes,
afin de donner une idée de l'importance de ce que fut la fameuse
vague belge d'OVNI. Ce texte, qui pourrait être disponible dans des
centaines d'autres sites, pourrait être lu transversalement,
simplement dans une optique d'instruction générale, à l'attention
des plus jeunes générations qui n'en ont forcément pas eu
connaissance, mais il sera parsemé de liens vers des rectifications
importantes, des précisions dignes d'intérêt, des débuts de pistes
parfois troublants, voire des théories peut-être pas si farfelues
qu'elles ne paraissent de prime abord.
Toutefois, parce que rien n'est définitif et que certaines enquêtes
sont encore en cours à l'heure actuelle, que certains points sont
parfois assez sensibles et font référence à d'autres sujets plus
pointus, nous avions placé ces connaissances complémentaires,
souvent primordiales, dans notre zone privée, réservée aux membres et
correspondants du CERPI. Aujourd'hui, dans cette nouvelle formule du site, tout
apparaît en plein jour !
Une vague d'OVNI dans laquelle il ne peut être question de traiter
les témoins d'affabulateurs ou d'alcooliques, beaucoup plus étendue
et profonde qu'il n'y paraît.
Tout le monde s'entend pour dire que la vague belge a débuté en
novembre 1989, le 29 plus exactement et dans la région d'Eupen.
Pour ce qui est de la fin, les choses se compliquent.
La densité des observations est telle qu'il s'agit incontestablement d'un événement mémorable à lui tout seul (143 le "premier jour"). Mais ce qui l'est peut-être encore plus, c'est que les choses vont continuer, ce n'est qu'un début et au total on arrivera facilement aux 1500 observations, voire plus. https://www.rtl.be/page-videos/belgique/societe/il-y-30-ans-une-vague-dobservations-dovni-avait-lieu-en-belgique/2019-11-29/video/267881
Pourquoi cette incertitude dans les
chiffres ?
Très vite, un fait remarquable va émerger de la vague belge : les
personnes qui étaient aux premières loges sont dignes de foi ! C'est
mieux que cela : des gendarmes sont eux-mêmes les témoins privilégiés
des observations. C'est aussi le cas pour des haut gradés de l'armée
belge. Les observations touchent toute la Belgique avec une
prédominance pour la Wallonie. Les témoignages concordent et font
preuve d'une grande cohérence malgré que les témoins n'habitent pas
la même région et ne se connaissent pas.
Très rapidement, la SOBEPS (La société belge pour l'étude des
phénomènes spatiaux) qui n'avait presque plus rien à se mettre sous
la dent et était sur le point d'entrer en léthargie faute d'OVNI, va
être débordée, sollicitée de toutes parts. Ses enquêteurs allaient
être mis à contribution bien au-delà des espérances les plus folles.
En un clin d'œil, les médias allaient se déchaîner : "que se
passait-il donc dans le ciel de Belgique ?", avions-nous droit à un
remake - jusque là pacifique, de la guerre des mondes ?
Par ailleurs, l'Armée belge allait même intervenir en joignant ses
efforts à la SOBEPS et des observations radar allaient aussi être
effectuées. On irait même plus loin encore en faisant décoller des
F-16 dans le but d'intercepter les engins en question.
Une photo au moins, celle de
l'OVNI de Petit-Rechain, fera le tour
du monde et il ne pourra jamais être possible de démontrer qu'il
s'agit d'un "fake".
Jusqu'au jour où...
Les engins qui apparaissent ainsi devant des gens le plus souvent
médusés, se présentent comme des plates-formes triangulaires de
grande taille. Un gendarme les décrira comme "énormes" et il le
répétera trois fois. Voulant donner des indications plus parlantes,
mais ayant des difficultés à trouver ses mots, il dira "comme une
maison". D'autres parleront d'engins gros comme deux maisons
jumelées. Il fera aussi des dessins sur lesquels on aperçoit une
base très large, estimée à 25m. A chaque pointe du triangle, on
trouve un phare lumineux, souvent assez puissant, voire très
puissant et au milieu de l'engin on remarque un feu clignotant
rouge.
C'est la description classique.
Il est absolument incontestable que la SOBEPS ait réalisé un travail
remarquable dans le cadre de cette gigantesque série d'observations
et il est très dommage que l'on ait tant décrié cette société belge
après coup.
• On a notamment mis en doute le fait que la SOBEPS avait une
démarche réellement scientifique. C'est une ineptie.
• On a également prétendu que la SOBEPS avait mis la clef sous le
paillasson parce qu'il n'y avait plus d'observations ou parce que
l'affaire était classée,
• que les manifestations avaient été expliquées.
Par contre, des hypothèses, nombreuses, ont été formulées, telles
que
o l'option socio psychologique,
o des engins de fabrication terrestre,
o les autres armes secrètes,
o le rapport avec des événements de l'époque,
o des points de coïncidences ont été établis,
• d'autres choses ont été passées sous silence.
Voyons aussi certains rapports de la gendarmerie française
D'autre part, il est certain que, à bien plus d'une reprise,
beaucoup de choses pourtant très intéressantes ont été occultées, notamment pas les médias. Ce qu'il ne faudrait pas confondre avec la
confidentialité qui est respectée scrupuleusement par le CERPI dans le cadre d'enquêtes encore en cours.
Le CERPI est un groupement belge, situé en Belgique. Certains de nos éléments ont été impliqués dans la vague belge d'OVNI. Nous sommes,
aujourd'hui encore, en contact étroit avec d'anciens de la SOBEPS. En dehors de ces derniers, nous nous estimons les mieux placés pour
parler de l'événement et réaliser nos enquêtes, avec tout le recul voulu. En cliquant sur les liens présents dans cette page, vous
obtiendrez presque à coup sûr des informations qui ne figurent nulle part ailleurs, d'autres que vous connaissez peut-être déjà, mais
certainement une approche que vous étiez loin d'imaginer...
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