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Nous revenons sur l'affaire Sunspot, qui n'en finit plus de rebondir d'une hypothèse à l'autre en passant par autant de
tentatives d'explications apparemment plus fumeuses les unes que les autres. Nous avons vu précédemment que l'explication passant par la pédopornographie
pourrait n'être qu'un cover-up, masquant des desseins bien plus alambiqués. Mais cela ne disait toujours pas ce que l'affaire était en réalité.
Et, à vrai dire, nous n'en savons toujours pas plus. Ou pas beaucoup.
Pourtant, il y a pas mal d'enquêteurs sur cette énigme et, comme il est de bon
ton, certains de ceux-ci ont vérifié plusieurs choses, lesquelles les ont amenés à rebrousser chemin pour en revenir à une situation beaucoup plus plate. En
effet, après plusieurs vérifications il semblerait que les observatoires impliqués et fermés à leur tour pour arriver au nombre de sept (en comptant
Sunspot) ne seraient que des "leurres", des fausses pistes ou plutôt une exagération de la part des milieux complotistes afin de donner une importance
démesurée à cette sombre histoire.
Ainsi, en prenant les noms des observatoires, leurs localisations et en épluchant le sujet, on aboutissait étrangement à des installations de fortune
bien loin de pouvoir être considérées comme de hauts lieux de l'astronomie et de la surveillance solaire. On y trouvait des appareillages assez semblables à des
Webcams, peut-être un peu plus élaborées, sophistiquées, et disposées plus ou moins judicieusement, mais guère plus. Voilà qui devait ôter le beau panache de
cette envolée mystérieuse : le ballon se dégonflait subitement et dès que l'on prenait conscience de ce que les observatoires étaient apparemment bidons, le
soufflé retombait aussitôt.
Voilà quelle était la dernière déconvenue de l'affaire Sunspot, une affaire dont le développement inattendu et initialement tentaculaire sombrait soudain dans la
banalité d'un conspirationnisme mis à mal. Une fois de plus : circulez ! Il n'y a rien à voir ! Dormez braves gens !
Mais ceux qui connaissent bien le CERPI le savent : nos enquêteurs ne sont pas
des débutants. Une fois qu'ils sont mandatés sur une affaire, ils s'y collent mieux que des sangsues, ils se dissipent et se confondent même au sein des
endroits les plus tortueux et s'insinuent dans les places fortes les plus impénétrables pour y dénicher de nouveaux éléments.
Dans un premier temps, leurs incursions dans de simples forums traitant du sujet leur avait permis de surprendre des discussions à propos de l'affaire Sunspot.
Rien d'extraordinaire puisque ce type d'accès est public. Mais c'est toujours comme ça que ça commence. Et puis les choses s'emballent, invariablement, de fil
en aiguille... Des textes semblables aux nôtres trouvaient en commentaires les objections de certains sceptiques, lesquelles avaient réalisé les mêmes
vérifications que précédemment et pour arriver au même résultat, ou à peu près : les observatoires concernés avaient rouvert leurs portes et les informations
reçues étaient donc fausses ou du moins considérablement dédramatisées. Riposte des auteurs des espaces Web : les observatoires ont effectivement rouvert entre
temps - et l'on peut s'en réjouir ! - cependant, ils étaient bel et bien fermés au moment des faits ! Paf ! Retour à la case départ : qu'est-ce qui avait
provoqué leur fermeture simultanée, dans le même type d'activités, soudain victimes du black-out ? Surtout, l'hypothèse pédopornographique s'avérait bien
impuissante à expliquer quoi que ce soit, a fortiori si les lieux concernés ne comportaient que de l'appareillage de seconde zone.
Là aussi, il devait y avoir eu substitution quelque part.
D'autant qu'une enquête bien plus fouillée allait permettre de voir les choses sous un tout autre angle. En effet, en partant des robots japonais destinés à
aller travailler sur un astéroïde, on passait subrepticement à un ensemble de pages du Centre National de surveillance et de prédictions météorologiques
spatiales. Voici le rapport que nous avons pu en tirer :
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En suivant les liens sur les robots japonais, on peut arriver sur le résumé des taches solaires quotidiennes, jusqu’au 5 septembre 2018.
Ensuite, jusqu’au 11 on reçoit :
Not Found
The requested URL /ftpdir/forecasts/SRS/0906SRS.txt was not found on this server.
AVANT (5-9-18), ON A :
: Produit: 0905SRS.txt
: Émis le: 2018 Sep 05 0030 UTC
# Préparé conjointement par le Département américain du commerce, NOAA,
# Space Weather Prediction Center et l'US Air Force.
#
Résumé de la région solaire conjointe USAF / NOAA
Numéro SRS 248 Publié à 0030Z le 05 sept. 2018
Rapport compilé à partir des données reçues à SWO le 4 septembre
I. Régions avec taches solaires. Emplacements Valide à 04 / 2400Z
Nmbr Lieu Lo Area Z LL NN Mag Type
Aucun
IA. Plages H-alpha sans taches. Emplacements Valide à 04 / 2400Z sept.
Nmbr Lieu Lo
Aucun
II. Régions en attente de retour 05 sept. Au 07 sept.
Nmbr Lat Lo
Aucun
APRÈS (ABOUT THIS MENU), ON A :
3 janvier 2008
Centre de prévision de la météo spatiale
RÉSUMÉ DE LA RÉGION SOLAIRE (SRS)
Le résumé de région solaire (SRS), compilé par SWPC, est un rapport quotidien des régions solaires actives observées la journée précédente. Le SRS contient
une description détaillée des régions actives actuellement visibles sur le disque solaire. Voir exemple et description ci-dessous. Les caractéristiques de
chaque région active sont compilées à partir de six observatoires qui rendent compte au SWPC en temps quasi réel. Etc..
A moins que je me trompe, on peut dire « et dire que certains doutent encore que plusieurs observatoires aient été fermés…»
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Mais il y a encore autre chose qui constitue une coïncidence de plus dans cette affaire décidément énigmatique à souhait. Toujours aussi simultanément que ce
qui est mentionné plus haut, nous apprenons - comme indiqué dans la page de nos petites trouvailles - que sept satellites sensibles pour le renseignement
américain sont désormais HS.
Voici donc les premières confirmations, de la part de milieux avisés, qui démontrent "officiellement" qu'il se passe des choses ! Mais de quoi s'agit-il,
mystère !
Il pourrait s'agir d'une guerre d'espionnage dans laquelle certaines instances font tout leur possible pour occulter certains points afin de se procurer un
avantage en dissimulant des faits ou des activités. Toutefois, l'affaire devient très embrouillée lorsque l'on épluche encore. Car s'agit-il bien d'une réalité
occulte ou existe-t-il une explication plus terre-à-terre ? En effet, le site du SWPC semble avoir procédé à des travaux de réactualisation, si bien que des URL
ont pu être modifiées en entraînant ainsi des erreurs 404, somme toute classiques lors de remaniements de surfaces Web. Mais le cas échéant, la
coïncidence (fâcheuse) aurait voulu que ces travaux se déroulent simultanément avec l'affaire de Sunspot... et avec les satellites, pour autant que ce soit
confirmé à son tour. Car, en fin de compte, tout cela pourrait aussi découler d'un stratagème faisant diversion ou d'une manœuvre étriquée destinée à
décrédibiliser les milieux complotistes.
Dans l'état actuel des choses, force est de reconnaître que l'on ne sait plus trop où l'on en est et là résidait peut-être le but de l'opération. Et la nôtre
consiste peut-être à le faire croire !
Un gros boulot que cet imbroglio !
Dans l'immédiat, nous avons trouvé un commentaire potentiellement intéressant :
Ils l'ont fermé parce que les recherches sur les taches solaires montrent des preuves des cycles terrestres remontant à des centaines d'années. Le FBI, la CIA et le MI6 dirigent l'Amérique. Cela dure depuis des décennies. Ce sont eux qui ont gardé les documents/bandes d'Epstein sous silence après le raid de sa maison sur l'île. Epstein était un agent, pour qui je ne sais pas encore. Mais c'est un sujet pour un autre jour, alors écoutez l'interview de Tucker Carlson avec quelqu'un qui en sait quelque chose sur les taches solaires et leur dissimulation —> https://x.com/tuckercarlson/status/1744777758507504061?s=46&t=gUhbvzwr-b7ZGPEAzn18sQ
Ne nous le cachons pas, nous ne pouvons être certains d'avoir trouvé la solution de l'énigme Il semblerait (notez le conditionnel) que Sunspot, qui est effectivement le nom d'un observatoire du Nouveau-Mexique, soit aussi le nom d'un logiciel informatique malveillant dont la propagation (embrouillée par les termes " sunburst " et " solarwinds ") aurait (ou aurait pu) compromettre très sérieusement de très grosses institutions américaines... Le cas échéant, l'histoire du jardinier et de ses activités pédopornographiques n'aurait été qu'une couverture ou, éventuellement un détail croustillant, de quoi donner un os à rogner, une belle diversion. A l'heure actuelle, il est prévisible que l'on ne pourra en savoir plus : toutes les portes sont fermées, verrouillées : secret d'état ! Ce qui aura généré la confusion provient notamment du fait que l'on se trouve dans la région de Roswell. Les interventions du FBI et de la CIA en plus du déploiement de moyens conséquents, l'imposition du secret même aux autorités locales ont immanquablement fait mousser les imaginations et, dans ces conditions, avec un télescope important en prime, de (faux ?) extraterrestres allaient presque immanquablement faire leur apparition parmi les hypothèses. Nous mettons "faux" avec un point d'interrogation car il reste toujours possible que... mais pour l'instant nous nous conterons d'appliquer le principe du rasoir d'Ockham.
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