Centre d'Études et de Recherches

sur les Phénomènes Inexpliqués

LE ROSWELL RUSSE


De nombreux témoins attestent qu'en 1986 un mystérieux Objet Volant Non Identifié s'est écrasé sur une colline proche de la ville russe de Dalnegorsk.
Des fragments de métal récupérés sur le site ne cessent d'intriguer les scientifiques. Lorsqu'ils soumettent ces étranges résidus à la chaleur, certains « s'évanouissent » et se voient remplacés par d'autres ! Certains fragments présentent même de curieuses propriétés antigravitationnelles.
Souvent surnommé le « Roswell russe », cet incroyable événement a fait l'objet d'une enquête approfondie de la part de Paul Stonehill, un ancien réfugié devenu aujourd'hui un ufologue de renommée internationale, et de Philip Mantle, un Britannique expert en OVNIs. Nous y découvrons aussi le mystérieux événement survenu en 1908 à Toungouska, en Sibérie, où une explosion détruisit 60 millions d'arbres avec une déflagration audible dans un rayon de 1500 km. Quelques témoins avaient vu passer dans le ciel une boule de feu qui a explosé entre 5 et 10 kilomètres d'altitude. L'onde de choc fut plusieurs centaines de fois supérieure à la bombe d'Hiroshima. Enfin, cet ouvrage lève le voile sur de nombreux phénomènes mystérieux liés aux Ovnis dans l'ex-URSS avec le témoignage de cosmonautes russes et de membres de l'Armée Rouge. Un éclairage de plus sur 1908 à Toungouska, en Sibérie et plein d'autres affaires.
Un très bon livre : http://www.amazon.fr/Roswell-russe-R%C3%A9v%C3%A9lations-ufologiques-Sovi%C3%A9tique/dp/2351851919/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1425318769&sr=1-1&keywords=le+roswell+russe
(Un texte de Jean-Claude Venturini) NB : Paul Stonehill fait partie de l'Académie d'Ufologie.

Comme le lecteur pourra donc facilement le comprendre : Roswell n'est pas le seul cas de crash possible de supposés extraterrestres sur terre. Mais l'information présente va beaucoup plus loin et vient également confirmer les propos de Jacques Vallée qui s'exprimait dans une conférence organisée par l'IMI (Institut Métapsychique International - Paris) à propos notamment d'éléments récoltés de ci de là et provenant des OVNIS. L'illustre personnage (Jacques Vallée) en a d'ailleurs aussi profité pour faire une petite digression à propos des implants, analysés en l'occurrence par le docteur Leir, avec des résultats surprenants. En effet, et cela mérite d'être souligné vingt fois et au feutre rouge, en gras : dans le cas de Dalnegorsk (1986, donc bien plus récent que Roswell - 1947) : des éléments clairement en provenance de ce que l'on nomme communément une "soucoupe volante" (celle-ci avait plutôt la forme d'une sphère, voilà pour faire la nique aux "soucoupistes" qui répercutent à l'infini une erreur sans cesse répétée) ont été retrouvés, analysés et, outre leurs propriétés époustouflantes et par celles-ci, forcé jusqu'à l'Académie des Sciences de reconnaître que ces éléments ne pouvaient être que d'origine extraterrestre. Attention cependant à ne pas se tromper en interprétant cela ! En effet, soyons bien clairs à ce sujet : pour un scientifique, un élément peut parfaitement être "extraterrestre" sans que cela présente le moindre rapport avec l'ufologie et les OVNIS, les petits bonshommes verts, etc. En effet, par exemple, les roches lunaires rapportées sur terre par les astronautes des missions Apollo étaient bien des éléments extraterrestres parce qu'issus d'un lieu situé hors (extra) de la Terre (terrestre). Il n'y a cependant aucun rapport avec la visite d'être intelligents venus sur terre en se déplaçant à bord d'un vaisseau spatial !

Ici, les analyses et les observations démontrent clairement que les "objets" recueillis (notamment une grille composée de fins fils métalliques d'une épaisseur de 17 microns, incluant eux-mêmes d'autres fils plus fins encore - et en or s'il vous plaît ! - n'étaient absolument pas à la portée des possibilités technologiques humaines de l'époque (1986, pour rappel) et c'est loin d'être tout ! Non seulement avait-on remarqué d'importantes modifications électromagnétiques mais aussi la magnétisation de cailloux (théoriquement impossible !), la présence de radiations, l'impossibilité d'une confusion avec une rentrée atmosphérique d'un satellite quelconque, l'intérêt porté à la question par la CIA, les effets marqués sur les êtres humains (diminution du taux de leucocytes, peur diffuse, augmentation du nombre de bacilles, augmentation de la pression sanguine et des pulsations cardiaques, etc...), le fait que "le site affecte également l'impression des pellicules et efface tout bonnement les films" (les sceptiques diront ici que c'est bien pratique pour les ufologues "croyants" ou adeptes de l'hypothèse HET), l'apparition et la disparition d'éléments constitutifs des substances lorsqu'on les soumet à une chaleur importante dans une chambre à vide (remarqué en laboratoires officiels !)... nous en passons et non des moindres, et notamment les propriétés antigravitationnelles, laissant aux lecteurs le soin de lire ce livre passionnant qui présente aussi l'intérêt tout particulier d'émaner non de quidams lambda mais, de manière quasi exclusive précisément en raison de l'interdit qui existait alors en Russie par rapport aux OVNIS, d'officiels, de scientifiques, d'astronomes, de militaires, de pilotes ou encore de cosmonautes ! Or donc, sur le plan de la fiabilité des "témoins", on peut difficilement faire mieux ! Continuons toutefois notre idée après cette parenthèse sur le Roswell Russe, souvent très méconnu (et dont les bizarreries énigmatiques ont donc subsisté durant 31 ans au moment où nous écrivons ces lignes !), pour évoquer superficiellement l'affaire de la Toungouska (expliquée théoriquement par la chute d'une météorite de grande taille, mais le sujet est très controversé) en rappelant que "le" crash de Roswell, souvent évoqué au singulier, pourrait concerner en fait, et selon certaines sources fiables, plusieurs impacts (or donc, ce ne serait pas un objet qui se serait crashé mais bien toute une escadrille !) On note encore d'autres crashes possibles et notamment en Amérique du Sud, sans compter - en ce qui concerne les OANIS (Objets aquatiques non identifiés) - les possibilités de crashes dans l'eau ! C'est que Monsieur tout-le-monde oublie souvent que notre bonne vieille planète présente de très vastes étendues aquatiques dans lesquelles des "OVNIS" peuvent soit plonger, soit se perdre corps et biens, faussant au passage la statistique des engins mystérieux qui se seraient abîmés sur notre "terre".

Pour en revenir à la problématique exposée dans notre article à propos d'Alexandre Astier et de son Exoconférence (voir la rubrique multimédia), nous pensons donc que le cas de Roswell est loin de ne constituer qu'un cas unique et que la question devrait se poser tout autrement. Rappelons ici que l'idée de base était qu'il était invraisemblable que des êtres hautement supérieurs, scientifiquement et technologiquement parlant, qui auraient franchi tous les obstacles d'un très long trajet interstellaire, viennent "bêtement" se crasher sur notre sol comme de vulgaires chauffards ! En réalité, si l'on prend en considération le nombre hallucinant d'observations ufologiques (et même si l'on en retranche un important pourcentage à mettre sur le compte des erreurs, affabulations, confusions, etc.) et que l'on tient compte du fait que ces mêmes OVNIS se manifestent dans notre entourage (le monde entier) depuis la plus lointaine antiquité, on obtient un nombre affolant de "patrouilleurs de l'espace". Dans ce cas, même en admettant une supériorité technologique immense (qui ne serait toutefois pas synonyme de perfection absolue) la quantité de crashes de ces OVNIS nous semble incroyablement faible et parfaitement en adéquation avec ladite supériorité du "service technique" évoqué avec humour par Jean-Michel Zecca !

En fait, nous pensons également que, puisque nous ignorons pratiquement tout des possibilités et des caractéristiques techniques des OVNIS en question, du milieu dont ils peuvent provenir, des possibilités d'interférences avec le nôtre, etc. il serait plus sage de ne tirer aucune conclusion qui se montrerait potentiellement hâtive, surtout à propos de crashes sur lesquels toute la lumière n'a pas encore été faite.

Ce n'est pas manquer de scientificité que de reconnaître son ignorance ! C'est en tous cas mieux que dire des bêtises.

Nous croyons souvent savoir beaucoup de choses, mais il y a une chose que de nous devons absolument savoir, c'est qu'il nous en reste bien plus à apprendre !

 

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