|
|
|
À partir de 1952 donc, il prétend avoir été contacté par un occupant d'un de ces engins volants non identifiés, qu'il décrit ainsi :
«L'homme ressemblait à tout autre homme, et j'ai remarqué qu'il était relativement plus petit que moi et
considérablement plus jeune. [...] Alors pour la première fois j'ai vraiment réalisé que j'étais en présence d'un homme de l'espace — un humain d'un autre
monde ! La beauté de son apparence dépassait tout ce que j'avais pu voir. Et l'aspect avenant de son visage me libéra de toute pensée personnelle. Je me sentais comme
un petit enfant en présence de quelqu'un doté d'une grande intelligence et de beaucoup d'amour, et je devins très humble par rapport à moi-même... de lui émanait le
sentiment d'une compréhension et d'une gentillesse infinie, avec une humilité absolue.»
Alors que j'observais la Lune avec mon télescope 6 pouces je remarquai plusieurs points de lumière minuscules s'élevant apparemment de la
surface de la Lune. J'avais observé ce corps durant de si longs moments au cours des vingt dernières années mais je n'avais jamais rien vu comme ceux-là.
J'attachai rapidement l'appareil photo et pris cette photo. Qu'ils aient été à la surface de la Lune ou stationnant loin d'elle dans l'espace je ne peux le
dire. Tout ce que je sais est que les corps célestes naturels ne s'arrêtent pas, ni ne démarrent et changent de direction selon leur propre volonté. Je pense que
des voyageurs interplanétaires pourraient utiliser notre satellite comme une base de temps en temps. De nombreuxastronomes ont observé des formations semblables A cette époque Adamski est visité par les Lorenzen qui gèrent l'APRO et vivent alors à Los Angeles. Ceux-ci le
trouvent très agréable mais ne lui accordent pas grandecrédibilité : Une fois, il a parlé plusieurs fois de laLune comme uneplanète, se souvient
Coral Lorenzen. En 1951 il présente une série de 4 autres photos, qu'il aurait prises le 5 mars, avec son télescope 6 pouces.
Adamski les présente comme des soucoupes sortant d'un "vaisseau mère": sur la première, 1 seule soucoupe est
visible, et sur chaque image successive plus de soucoupes ont quitté le vaisseau mère, jusqu'à 6 soucoupes sur la dernière photo (ci-contre).
Il serait inconcevable de parler
d'ufologie sans évoquer le nom de George Adamski. Il s'agit
effectivement d'une personnalité incontournable du domaine mais il
convient, avant toute chose, de signaler en guise d'avertissement qu'il
s'agit également d'une personnalité particulièrement controversée et on
en comprendra aisément les raisons en lisant ce qui va suivre.
Grand ufologue réellement contacté ou superbe illuminé, nous allons
essayer de le savoir bien qu'il semble clair que l'on ne pourra que très
difficilement se prononcer de manière définitive tant que l'on n'en
saura pas plus sur le sujet OVNI. Notre investigation portera donc
sur ce qui paraît raisonnable et logique d'après nos connaissances
actuelles, il ne faudra donc pas perdre de vue que d'autres possibilités
pourraient être envisagées...
Photo : Copyright ©Adamski Foundation (from
Wikipedia)
Biographie

Si on ne peut pas affirmer que G. Adamski était réellement astronome car il ne suffit pas pour cela d'utiliser un télescope ou un réflecteur de 6 pouces ni de
passer beaucoup de temps sur le mont Palomar, il était en revanche certainement astronome amateur et, en tous cas, il a été très tôt passionné
par tout ce qui concerne l'ufologie. Ce qui est certain par contre, c'est qu'il était professeur de métaphysique et de
philosophie et qu'il a fondé, en 1936, en Californie, l'Ordre Royal du Tibet, qui resta relativement confidentiel.
Adamski était aussi autodidacte et enseignait les lois universelles lors de conférences.
Mais pour en venir à ce qui nous intéresse, reprenons les choses depuis le début...
Adamski naît donc en Pologne et émigre avec ses parents lorsqu'il a 1 an 1/2 à
Dunkirk (New York, USA), où il grandit. En 1913, il s'engage. Il est affecté dans le 13e de cavalerie près
de la frontière mexicaine. En 1917, il épouse Mary A. Shimesky, et est démobilisé en 1919. En 1940 il part avec quelques-uns de ses disciples à Valley Center,
où ils créent une sorte de petite exploitation agricole. En 1944, ils partent sur les pentes méridionales du Mont Palomar (Californie) à côté du plus grand télescope du monde. Il passe
beaucoup de temps en astronome amateur à étudier le ciel à l'aide d'un
réflecteur de 6 pouces. Adamski va alors développer une passion pour la vie extraterrestre et les ovnis. En 1946 sa mère meurt. Cette année-là, il publie un traité
de 10 pages sur la possibilité de vie sur d'autres planètes.
On pourrait évidemment se hasarder à spéculer quant à l'impact de la guerre, celui du décès de sa mère et ses recherches ufologiques sur le psychisme de l'individu,
événements qui précèdent la grande "rencontre" d'Adamski. Mais sans doute l'argument serait-il par trop simpliste. Nous nous contenterons de remarquer que ladite
rencontre est supposée avoir eu lieu en 1952. Or cette date n'est pas innocente.
En effet, nous nous trouvons une fois de plus en pleine guerre froide, peu après les affaires de
Kenneth Arnold et surtout de Roswell qui surviennent toutes deux en 1947, respectivement
le 24 juin et le 3 juillet, peu de temps après les premières
explosions atomiques et pas tellement loin des bases principales ou zones d'essais. Dès lors, on pourrait dire que la suite
des événements s'inscrit dans une logique assez implacable : de premières observations plus ou moins lointaines ou plus
rapprochées, un crash de vaisseau spatial (éventuellement avec - déjà - la découverte d'occupants) et puis la rencontre
proprement dite. Les raisons de la venue de ces extraterrestres seraient liées aux troubles belliqueux survenus sur terre et aux conséquences éventuelles des
explosions et recherches atomiques, auxquelles on pourrait en ajouter d'autres, existant peut-être de longue date. Autrement dit, vu comme ça, on voit que la ligne du temps respecte un
scénario qui n'est pas si invraisemblable qu'il ne paraît au premier abord. Nous allons d'ailleurs pouvoir revenir sur ce sujet dans notre étude proprement dite
quant à l'entrevue d'Adamski avec son vénusien.
Adamski rencontrera plusieurs fois cet «homme», qui l'emmènera faire un tour à bord de son véhicule et lui délivrera des messages de paix, se disant préoccupé par
les essais nucléaires pratiqués aux États Unis.
Mais cette description des faits, trouvée sur le Net est plutôt réductrice et pour nous faire une meilleure idée
des choses, nous sommes obligés de nous en référer à une autre, plus détaillée, qui nous fait aussi remonter à nouveau le temps...
Ainsi, remontons donc en 1948, année où il
présente une première photo d'ovni. En 1949 il sort un livre de science-fiction intitulé Pionneers in Space (voyage vers la Lune, Mars et Vénus), en fait
écrit par Lucy McGinnis (disponible à la Bibliothèque du Congrès, sous forme de microfilm). Le 29 mai 1950, il raconte avoir vu des escadres dans son télescope :
NDLR : Comment devons-nous interpréter cette phrase ? Serait-ce une blague à propos des belges : "une fois, il a
parlé plusieurs fois..." Par ailleurs, si cette erreur est surprenante de la part d'un astronome, même amateur, elle est aussi simplement le
fait du langage courant où l'on assimile parfois la lune à une planète en sachant très bien qu'il s'agit en fait d'un satellite de la terre1er contact
Par la suite, Adamski affirme avoir été contacté par des extraterrestres : le 20 novembre.
1952, il aurait installé son télescope dans un endroit
favorable au passage des soucoupes volantes, au centre du désert de Californie et aurait attendu, avec 6 autres personnes :
George Williamson et sa femme Betty, une connaissance nommée Al Bailey et sa femme, Lucy McGiness la secrétaire d'Adamski, et Alice K.
Wells, la propriétaire du Palomar Gardens Cafe.
NDLR : Cette partie devient moins vraisemblable.
On ne nous dit pas en quoi cet endroit serait plus favorable qu'un autre au passage d'OVNI, un point qui nous donnerait pourtant d'intéressantes
indications. Par contre, dans ce témoignage, on ne pourra pas prétendre qu'Adamski était seul, il y avait des témoins.
Très vite, un engin mystérieux aurait atterri. Un être de taille humaine, 1,70m, se serait alors approché de lui, portant une sorte de
combinaison de ski, des cheveux longs et blonds.
NDLR : très peu vraisemblable ! Les choses se présentent comme s'il suffisait de trouver un endroit favorable,
d'attendre un peu comme à un arrêt d'autobus et voici une soucoupe volante ! A la rigueur, les bus seraient encore moins ponctuels...
Cela semble aussi comique d'entendre parler d'un extraterrestre aussi attentionné pour honorer les rendez-vous, arriver à bord de sa soucoupe
et en descendre en tenue de ski ! Voilà qui nous fait un peu penser à Merlin l'Enchanteur de retour de Saint-Tropez dans le film de Walt
Disney... (excellent d'ailleurs) Pourtant, il convient aussi de ne pas trop se moquer. Nous avons entendu dernièrement, de source avisée, que
si l'on désirait observer des OVNI, il suffisait en fait de "sortir" (de chez soi) et de patienter.
C'est peut-être y aller un peu fort mais cela mérite d'être tenté. C'est précisément ce que nous faisons d'ailleurs, notamment lors des opérations Suricate. D'un autre côté, il paraît clair aussi que si nous devions rencontrer un E.T, il faudrait s'attendre à ce qu'il ne soit pas habillé exactement comme nous. Cela coule de source !
Adamski raconte :
Lorsque je me suis approché de lui j'ai ressenti une étrange sensation et je suis resté sur mes gardes. A ce moment j'ai jeté un oeil pour me rassurer et être sûr que nous étions tous les deux visibles de mes compagnons. Apparemment il n'y avait aucune raison de ressentir cette sensation, l'homme ressemblait à tout autre homme, et j'ai remarqué qu'il était relativement plus petit que moi et considérablement plus jeune.
Soudain, comme si un voile était ôté de mon esprit, le sentiment de prudence m'a quitté si totalement que je n'ai plus eu conscience de la présence de mes amis... A ce moment nous étions vraiment proches. Il fit 4 pas vers moi, nous amenant chacun dans les bras de l'autre.
Alors pour la première fois j'ai vraiment réalisé que j'étais en présence d'un homme de l'espace — un humain d'un autre monde ! La beauté de son apparence dépassait tout ce que j'avais pu voir. Et l'aspect avenant de son visage me libéra de toute pensée personnelle. Je me sentais comme un petit enfant en présence de quelqu'un doté d'une grande intelligence et de beaucoup d'amour, et je devins très humble par rapport à moi-même... de lui émanait le sentiment d'une compréhension et d'une gentillesse infinie, avec une humilité absolue.
Il me fit comprendre qu'ils venaient en paix. Aussi, comme il le mima, qu'ils étaient préoccupés des radiations partant de la terre. Je lui demandais si cette préoccupation était due aux explosions de nos bombes et leurs vastes nuages radioactifs ? Il comprit cela rapidement et hocha la tête de manière affirmative.
![]() |
![]() |
Heureusement, Adamski et son équipe ont opportunément emmené du plâtre
dans leur voiture et ils s'empressent de faire un moulage des empreintes de pas du vénusien Orthon. On remarquera la forme de svastika
(croix gammée) sur l'avant de l'empreinte droite, non sans rappeler les sombres fréquentations d'Adamski (Dudley Pelley, Ballard,
Williamson) de l'époque.
NDLR : Cette information est loin d'être anodine et bien que cela ne fera finalement qu'ajouter au mystère on peut
facilement faire le trait d'union avec un autre volet de l'affaire. En effet, ceux qui s'intéressent à la seconde guerre mondiale n'ignorent
pas les penchants ésotériques d'Hitler. Ce que l'on sait peut-être moins c'est que le Führer croyait en la théorie de la terre
creuse, laquelle correspond à une tentative d'explication du phénomène OVNI qui remonte à plusieurs décennies. Dans celle-ci, les
extraterrestres seraient en fait des intraterrestres. En fait probablement d'anciens humains comme nous qui auraient évolué en
parallèle, seraient sans doute issus de l'Atlantide ou en tous cas d'une très ancienne civilisation. Il y aurait des zones d'accès situés
aux deux pôles. Malgré qu'il semble que l'on ne puisse naturellement accorder que peu de crédit à cette hypothèse, il faut
malgré tout en tenir compte. D'autant que l'un des principes nazis résidait dans l'idéalisation du type aryen (le surhomme blond, la race
pure, etc.) Pour la petite histoire, rappelons aussi qu'en 40-45, la Pologne - pays natal d'Adamski - fut l'un des premiers pays attaqués
par les allemands.
![]() |
Ce n'était qu'une 1ère rencontre. Le 13 décembre
à Palomar Gardens (Californie), Adamski aurait fait une photo de leur soucoupe, restée célèbre (ci-contre)Le "vénusien" serait revenu et, pour faire plaisir à l'écrivain, lui aurait fait faire un voyage express autour de la Lune, pour lui montrer des rivières et des lacs sur la face cachée.
En raison de la promesse du visiteur de me retourner ma plaque (de film photographique), je restais dans un état d'alerte constant.
(...) Je pus l'observer planer silencieusement dans ma direction - un appareil iridescent semblant fait de verre émettant ses brillantes couleurs dans le soleil du matin !
Je vis le support lâcher... ma seule pensée était alors d'obtenir les photographies... une fois (la photo) terminée, et avec les témoins présents, et qu'une impression fut faite, il n'y avait plus trace de la photo d'origine - que je pris avant que le visiteur prenne le support - totalement effacée; et elle était remplacée par un étrange photographie et un message symbolique...
Suite à ce premier contact avec ceux qu'il appelle des Vénusiens, Adamski commence à dispenser sa bonne parole de la "Philosophie Cosmique". En 1953, il écrit "Les soucoupes volantes ont atterri" avec Desmond Leslie. Il y raconte ses rencontres et cite des extraits du livre "Les stances de Dyzan", décrit comme provenant de la planète Vénus et apporté aux Indes, pourtant réputé disparu :
Mais la vie avait besoin d'une intelligence pour embrasser l'univers. Nous ne pouvons la lui donner, dirent les ancêtres. Je ne l'ai jamais eue, dit l'esprit de la Terre. L'homme n'était qu'un bhuta vide et sans esprit (...) Ainsi, Venus envoya le plus grand de la planète, le "Sanat Kumara", le "Seigneur de la Flamme", qui descendit sur la Terre avec ses 4 grands maîtres et 100 assistants.
Le livre connaît un succès immédiat, étouffant les premières critiques.
Adamski fera ainsi un grand tort à une étude sérieuse des ovnis, de nombreux chercheurs se mettant alors à douter à priori des témoignages. On lui doit plusieurs documents à l'authenticité sérieusement remise en cause. Ceci d'autant plus que les canulars et mystifications se succéderont à un rythme au moins aussi rapide que les authentiques apparitions d'ovnis. Le combat en particulier Donald Keyhoe qui le qualifiera "d'employé d'un stand de hamburgers" alors que la presse donne à Adamski le titre d'"astronome" parce qu'il vit dans une maison sur le Mont Palomar où un grand télescope est en opération.
De 1959 à1960, Adamski va porter sa parole hors des frontières, et est même reçu par la Reine Juliana de Hollande en 1959.
Le 13 mai 1963, Adamski prétendra rencontrer le pape Jean XXIII trois jours avant la mort de celui-ci. George Adamski repose au cimetière des Héros à Arlington (USA).
Adamski, de ses premières interventions jusqu'à aujourd'hui, n'a cessé de diviser les clans ufologues.
Pour certains, il ne fait aucun doute que George Adamski était un homme véritablement en contact avec les extraterrestres. Ils citent par exemple ses rencontres avec des personnages importants comme le président Kennedy, la reine des Pays-Bas Juliana ou le pape Jean XXIII. Ce dernier lui aurait d'ailleurs remis une haute distinction honorifique vaticane. Les pro-Adamski déclarent aussi que certaines des conversations qu'il aurait eues avec son émissaire extraterrestre décrivent des phénomènes que la science n'avait pas démontrés à l'époque, comme les ceintures de Van Allen ou les images holographiques.
D'un autre côté, les anti-Adamski décrivent ce dernier comme un mystificateur habile. Ainsi, sa rencontre avec le pape ne serait qu'une supercherie, ce dernier étant agonisant sur son lit de mort au moment de la prétendue rencontre. La médaille honorifique qu'il aurait reçue ne serait en fait qu'un bibelot pour touristes. Ses photographies ne seraient que des trucages, et les témoins de ses rencontres des complices.
NDLR : Quoi qu'il en soit à propos d'Adamski, on peut au moins remarquer une chose intéressante : le dessous de la soucoupe en question, qui comporte trois "boules blanches" disposées en triangle et une partie centrale sombre qui pourrait tout à fait contenir un dispositif lumineux (rouge). Dans ces conditions, il est facile de tirer l'analogie avec les observations qui eurent lieu ultérieurement, notamment lors de la fameuse vague belge
![]() |
Le 13 mai 1963, Adamski
rencontre le Pape Jean 23. Sur la place Saint Pierre à
Rome (Italie), Adamski demande à ses 2 amies
May Morlet et Lou Zinsstag de rester là et de l'attendre. Il traverse
alors la foule des touristes et disparaît derrière une porte éloignée.
Quelques 30 minutes plus tard, il réapparaît et raconte aux deux femmes avoir vu
Jean 23 qui était malade, très certainement, mais avait un teint rosé,
et non olivâtre qu'ont les gens atteints de cancer lorsqu'ils sont à
l'agonie. Il dit aussi avoir vu les fameux jardins du Vatican au travers
des fenêtres de la chambre papale (il racontera la même histoire au
docteur Perego, alors que la chambre papale fait face à la place Saint
Pierre, à l'opposé des jardins). Trois jours plus tard meurt Jean 23.
Adamski est revenu avec une "Médaille Dorée d'Honneur" de la part du
pape, qui serait, d'après un numismate romain, en fait un souvenir pour
touristes produit par une société de Milan.
Plus tard, Adamski confessera que quatre savants du gouvernement américain
étaient à l'origine du lancement de sa carrière d'ambassadeur des
Frères de l'Espace. Ces savants appartenaient au laboratoire
d'électronique navale de Point Loma, près de San Diego, et à une
organisation similaire de Pasadena. Ceux-ci lui auraient demandé
s'il voulait bien coopérer à une tentative collective de prendre
des photos des étranges engins se déplaçant dans l'espace. Adamski indiqua à propos des "foo-fighters"
que ces boules de feu avaient pour objectif d'annihiler les effets
désastreux des radiations atomiques. En 1965,
Adamski présente un film 8 mm pris avec Madelaine Rodeffer montrant un
vaisseau vénusien en vol. Le 23 avril, il meurt d'une attaque cardiaque à
Silver Springs (Maryland).
Cette année-là est fondée la
Fondation Adamski, dont le l'objectif déclaré est de promouvoir
les faits scientifiques et la pensée philosophique pertinents pour
comprendre que la vie humaine est la règle, et non l'exception, dans
l'univers. Que dire de l'affaire Adamski et du personnage
lui-même, sinon que, effectivement, elle comporte des éléments
difficiles à croire. On a beau savoir que "le vrai n'est
quelquefois pas vraisemblable", les éléments qui ressortent de
l'entretien avec le Vénusien font un peu "philosophie à l'eau de rose"
et qu'Adamski ait finalement été le premier astronaute est "fort de
café". Même les empreintes de pas, l'entretien avec le pape et d'autres
points encore sont au moins très critiquables. Pourtant, la
lecture du livre "Avant le big bang", des frères Bogdanov donne des
éléments de réponse (nous y revenons ailleurs dans ce site), de
nombreuses théories scientifiques actuellement émises très sérieusement
tendent à corroborer les dires d'Adamski ou du moins à lui accorder un
regain de plausibilité. Il existe d'ailleurs encore aujourd'hui de
nombreux partisans d'Adamski et on n'a pas réellement entériné le fait
que toute son affaire ne soit née que de son imagination. Il
subsiste donc toujours un doute et ce n'est pas tout ! En effet,
nous sommes nous-mêmes en rapport avec un organisme qui prétend disposer
des preuves concrètes, indiscutables et absolues de la véracité des
propos et observations du personnage. Pour des raisons diverses,
l'organisme en question ne semble pas disposé à révéler ses batteries au
premier venu, notamment parce que d'autres intérêts seraient en jeu,
d'autre part parce qu'il a souvent existé une politique de rétention des
informations entre ufologues, ce qui est assez regrettable. A moins bien
sûr que tout cela ne soit que du vent. Cela
dit, nous sommes toujours en pourparlers... et nous supposons que si,
dans le meilleur des cas, nous parvenions à avoir gain de cause, nous
serions alors nous-mêmes soumis à une certaine loi du silence ! Il
reste donc à faire comme les anglais : "attendre et voir". Bon! Bien évidemment, si l'on veut pouvoir se
faire une opinion personnelle à propos de l'affaire Adamski, il est tout indiqué de se procurer son livre, disponible de longue date dans la
collection "J'ai lu" en format de poche et présent depuis des années dans la bibliothèque fournie du CERPI. C'est sans doute aussi ce à
quoi aura pensé l'auteur tout en pensant aussi à son portefeuille... Nous l'avons lu, jadis, et si nous n'en sommes pas morts, en revanche on
ne pourra pas dire que cela aura bouleversé nos vies non plus. Vous voilà avertis. Mais une fois encore il convient de ne pas avoir la critique trop acerbe car il subsiste de nombreux points d'ombre, des
doutes parfois cuisants qui font que l'on est en droit de se demander si l'on n'aurait pas trop vite catalogué Adamski au rang des imposteurs et
des affabulateurs. Comme vous aurez l'occasion de le constater par vous-mêmes dans nos pages, de nombreux sujets connexes renvoient
inexorablement à cette affaire, avec une insistance toujours renouvelée. Quelques semblants de preuves parviennent même jusqu'à nous, de manière
très indirecte et à contrôler, certes, mais... Bref: impossible de classer l'affaire définitivement. La présentation du livre par l'éditeur : Voici un des livres les plus controversés sur la
question difficile des Soucoupes Volantes. L'astronome amateur George Adamski a-t-il réellement rencontré, le 20 novembre 1952, aux
États-Unis, un être descendu d'une Soucoupe Volante et affirmant venir
de Vénus ? Ce livre, outre la relation d'Adamski, comporte une étude critique très approfondie de cette affaire extraordinaire par
l'écrivain anglais Desmond Leslie. Ce dernier se déclare convaincu de la sincérité d'Adamski qu'on n'a pas manqué d'accuser d'imposture et de truquage. En
particulier, dit-il, comment George Adamski aurait-il pu avoir connaissance de la ceinture de radiations Van Allen, qu'il décrit, et
qui n'a été «découverte» que par les premiers cosmonautes ? Et comment aurait-il pu faire mention, à l'époque, du phénomène des « lucioles »
entourant les vaisseaux de l'espace, que les pilotes des cabines Apollo ont constaté ? Copyrights : les textes du présent article sont largement inspirés de Wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Adamski
Conclusions du CERPI
Les
soucoupes volantes ont atterri
et de
http://www.rr0.org/personne/a/AdamskiGeorge/index.html
Sauf mention contraire indiquée, les images en sont également issues et
nous n'en revendiquons donc nullement la propriété.
SOMMAIRE DES
PERSONNALITÉS UFO - SOMMAIRE UFOLOGIE -
ACCUEIL