La salle de réunions du CERPI était à nouveau pleine pour ce nouveau débriefing. Personne ne se cachait que le
groupement s'était mis dans un sacré pétrin en acceptant d'enquêter sur le cold case d'Arc-Wattripont. Pourtant, même si le Président
affichait une mine visiblement contrariée par les derniers éléments et notamment l'affaire de la fameuse cassette, il ne semblait pas sur le
point de vouloir abandonner. Son discours allait cependant sembler curieux pour la plupart des membres présents...
Mesdames et messieurs, chers amis, le moins que l'on puisse dire est que l'affaire d'Arc-Wattripont nous pose problème et que l'énigme que
nous tentons de résoudre depuis déjà plusieurs mois a ce que j'appellerais "un cadavre dans le placard". Comme vous le savez,
l'examen de la K7 vidéo des gendarmes a largement démontré l'existence d'une très nette volonté d'occultation. Faut-il d'ailleurs que je
vous rappelle que, dès le départ et foi de gendarme, il avait été décidé que l'affaire ne devait en aucun cas être médiatisée ? Cela
signifie que tout devait être étouffé dans l'oeuf avant même que quiconque puisse s'en occuper et donc la perturber. C'est bizarre
ça, ne trouvez-vous pas ? : les phénomènes viennent à peine de commencer (et peut-être même pas !) et on décide que cela ne doit en aucune façon
figurer dans les médias. Pourquoi ? Secret d'état ? Désir de ne pas envenimer la guerre des polices ? Autre chose ? Moi, je dis
que si l'on cache, si l'on veut à tout prix cacher, c'est forcément qu'il y a quelque chose à cacher ! Le problème c'est de savoir
quoi, justement ! Notons au passage que... qui avait dit ça ? Jean-Marie Tesmoingt et un gendarme. Donc : un militaire. Retenons ça ! Et quand je pense que notre
"brillant journaliste" m'avait ri au nez quand je lui avais parlé au téléphone et que j'avais évoqué le black-out ! Pour lui, il n'y avait jamais eu de black-out !
Ben voyons !
Le
hasard a voulu qu'un journaliste free lance (heureusement !) qui balayait les ondes radio s'aperçoive qu'il se passait quelque chose de franchement étrange à la
rue de Beauregard et se rende sur place lui-même pour confirmer de visu qu'apparemment la normalité des choses avait déserté les lieux, au point
de quasiment vider la caserne de gendarmerie et de devoir appeler nuitamment quelques policiers (en faisant abstraction de la guerre des
polices qui sévissait alors puisque les deux corps existaient encore simultanément à l'époque) et aussi un radiesthésiste pour faire bonne
mesure. Pour l'anecdote et complément d'information, c'est le même Simoulin qui évoluait dans l'affaire des agroglyphes et qui, par la même
occasion, en 1992 si mes souvenirs sont bons, apercevait aussi une soucoupe volante". Il faudra revenir là-dessus !
Très rapidement, on trouve un "coupable" en la personne d'Éric Barbé puisque les phénomènes se déclenchent dès son arrivée et que les objets
baladeurs se dirigent apparemment préférentiellement vers lui et paf ! le voilà devenu "l'épicentre". Pourtant, rappelez-vous, Éric Barbé
n'est pas arrivé dans la famille Dubart à Arc-Wattripont le 5 janvier, date qui allait aussi coïncider avec l'un des deux pics d'intensité des
phénomènes mais bien le 13 décembre 1992. Si l'on en croit la famille, tant Nathalie que Flore, sa mère ou encore Roger, son père, le début des
phénomènes que nous estimerons par la force des choses de "mineurs" date d'il y a une vingtaine d'années, excusez du peu ! soit vers 1973.
Je vous demande de retenir cette date et d'en tenir compte dans vos recherches ! (le ton employé
soulignait fermement cette demande).
Les exorcismes bidons de
Monseigneur Meurant, le passage du Père Samuel n'ont fait que décrédibiliser l'affaire mais aussi démobiliser la gendarmerie "car le
surnaturel n'est pas de leur ressort. Joli prétexte pour se débarrasser de la patate chaude alors que toute une famille est quand même en danger
(les gendarmes voudront d'ailleurs se protéger des projectiles !), que l'on ne trouve aucune explication aux phénomènes et que la hiérarchie se
montre menaçante vis-à-vis de ses subordonnés, dans son incrédulité, ceci dit assez compréhensible. Notre soi-disant épicentre
n'est pas mal non plus dans son genre puisqu'il se dit en communication avec la Vierge, rien que ça, laquelle l'avertit de l'imminence des
attaques du démon...
Je passe sur l'affaire du reportage télévisé qui a
embrouillé tout le monde avec la complicité (involontaire ?) des propriétaires et dont nous avons pu décortiquer et détricoter les
arguments pour nous remettre en course, ou tout du moins éliminer ce qui nous était reproché parce qu'invraisemblable (comme si tout le reste
était parfaitement normal ! - rires dans l'assemblée). Chacun croit donc qu'une fois les exorcismes de l'Église gallicane, qui n'avait
aucunement été sollicitée par les propriétaires pas plus qu'une procédure régulière auprès du diocèse concerné n'avait été introduite,
la messe est dite ! Hé bien non ! Parce que, nous le savons maintenant, bien plus tard un désenvoûteur, nommé Maertens, de
Saint-Trond, viendra procéder à un autre rituel au cours duquel le fameux lit soi-disant non troué sera complètement brûlé à minuit pile et
à grands renforts d'eau bénite. (Tu parles donc que, au moment où l'équipe télévisée est venue, que le lit avait été bigrement abîmé et
qu'il ne pouvait qu'avoir été remplacé par un neuf, forcément intact !) Mais "motus" car il faut être bien renseignés, comme nous, pour en avoir connaissance ! De la même
manière, l'information sera hyper délayée dans la presse quant à l'intervention encore ultérieure de démonologues particuliers. Une intervention
qui, une fois encore, rejettera l'hypothèse d'une quelconque possession. L'un de ces démonologues exclura l'hypothèse "Moloch", souvent évoquée
dans les forums et un peu partout mais à tort et à travers, mais je vous demanderai de retenir cette lettre M
dans vos recherches et d'en tenir compte. Et attention : ceci en rapport avec la démonologie et l'ufologie. (Plus
d'un se gratta les cheveux, beaucoup se regardèrent, interloqués...) Soit ! Fort heureusement, ces démonologues ont demandé l'anonymat, sinon
l'affaire risquerait d'être compliquée (nouveaux rires dans l'assemblée).
J'arrive maintenant et ici avec d'autres gros sabots car nous avons
aussi ce satané problème de la dualité, que nous croyons avoir pu écarter au terme des opérations kakapo mais qui semble reprendre vie
suite à l'annonce de l'enlèvement d'Éric Barbé, par le biais du terme ambigu de "puce", que vous prendrez en
considération, si vous le voulez bien, en rapport avec les propos et spécialités de sire Klingsor. Et, tant que j'y
pense, ne perdez pas de vue qu'en suivant les témoignages que nous avons recueillis, le surnaturel n'a pu être définitivement écarté
qu'en 1996 au moins !
Bon ! Après toutes ces "banalités", vous m'excuserez d'en venir à des choses plus
compliquées... (tout le monde fit alors de grands yeux !) Oui, je sais et je vais aussi m'empresser de dire que je comprendrai
parfaitement si certains d'entre vous préfèrent se désister et ne donc plus s'occuper de cette affaire sulfureuse. je suis en effet bien
obligé de vous avouer qu'il est fort possible que nous soyons non seulement confrontés au gardien du seuil mais peut-être aussi
d'instances potentiellement plus virulentes, dangereuses. Il faut évidemment maintenant que je vous donne quelques explications à ce
sujet. Des calmants seront à votre disposition à la sortie...
Alors voilà... il nous faut hélas revenir sur le triste souvenir de ce reportage de sinistre mémoire, la
fameuse "émission". On peut évidemment la considérer comme le fruit du travail d'un journaliste orienté, en conflit avec les concepts
judéo-chrétiens ou en relation avec des groupements zététiques, chers à un certain Jacques Théodor. J'extrapolerai peut-être abusivement à
vos yeux mais il est un fait que certains médias sont inféodés par des instances dont les éléments sont en fait eux-mêmes les marionnettes de
cercles spécifiquement sournois. Je ne crois pas devoir vous faire un dessin à ce sujet, à tout hasard vous pouvez consulter ce livre traitant
de la liberté de la presse avec un classement par pays, vous aurez des surprises !
Encore une fois, on ne peut pas automatiquement tirer un rapport de cause à effet entre l'un et l'autre mais vous ne pourrez pas nier la
proximité chronologique avec les autres "sévices" que nous avons subis : par exemple la téléphonie qui avait été mise sur écoute avec
confirmation de l'opérateur. Je peine à imaginer que ceci émane simplement de l'un de nos concurrents directs, pensez-en ce que vous
voudrez mais moi cela m'inspire la méfiance, la prudence...
Notre site Web a été piraté, mais d'une manière très particulière en ce sens que l'espace web se trouvait progressivement affublé de fichiers que nous
n'avions pas pondus. En fonction du but recherché, le site du CERPI aurait pu se mettre subitement à afficher du n'importe quoi
potentiellement très dangereux. Or, comme même si nous supprimions des fichiers, d'autres fichiers surnuméraires apparaissaient, invisibles dans
le registre, mais bien présents en matière d'espace de stockage, au bout d'un "certain temps" le site aurait fini par atteindre ses limites et à
s'étouffer. C'était donc méchant mais ce n'est pas tout puisque comme vous le savez notre nom de domaine avait également été détourné,
sans qu'il soit possible de le récupérer.
J'ai fait mes recherches et constaté que l'opération avait transité par l'Allemagne et/ou l'Autriche. Pour l'instant, je vous ferai grâce d'une
réflexion qui m'a été faite de la part d'un philologue et concernant l'ordre teutonique. Ne vous préoccupez pas trop de ce sujet pour
le moment. Sachez seulement que ce que j'appellerai la raison sociale du coupable a été localisée dans le centre de Bruxelles, un
commerce apparemment abandonné, une voie de garage. Par contre, il était clair que le nom de domaine ainsi détourné entretenait des propos
qui nous étaient antagonistes et je citerai pour seul exemple Baba Vanga. Une blague, me direz-vous ? Sans doute, sauf qu'il convient
de rappeler que Baba Vanga était une sorte de prophétesse bulgare et que notre groupement comporte un site consacré à la Bulgarie... et par
extension aux pays de l'Est, dont la Russie ! Vous voyez où les choses nous mènent potentiellement ? Personnellement, je ne pense pas que
la chaîne télévisée soit coupable ni de la surveillance téléphonique (pourquoi faire ?), ni du détournement de notre nom de domaine ou du
piratage de notre site. Ce serait, à mon humble avis, prêter trop de volonté destructrice de sa part. Nous descendre en flammes à la
télévision était bien suffisant. Jusqu'ici, je m'étais toujours dit que les activités du CERPI ne devaient pas intéresser les services secrets,
la NSA, la CIA ou le FBI, Scotland Yard et consorts. Nous sommes trop "petits", voire insignifiants et nos activités sont en-dehors de
leurs préoccupations. MAIS, notre partenariat avec Belgaria et donc la Russie par extension, ça... ça pourrait être différent ! Indirectement
et comme seule hypothèse de travail, on retrouverait alors le domaine militaire. Nous ne devons pas nous obnubiler là-dessus mais le
garder en mémoire dans nos tiroirs...
Je sais que vous allez considérer
que je vais chercher trop loin, voire que je ferais dans la parano, mais je dois porter d'autres choses à votre connaissance. Notamment,
sans forcément de lien de cause à effet, si l'on examine l'état de nos pertes dans cette "pseudo-guerre", je rappellerai
le triste souvenir de
la disparition de Jean-Marie Tesmoing, qui pour mémoire était devenu l'adversaire direct de Jacques Théodor, dans les conditions abominables
que l'on sait. Mes recherches ont démontré que Jean-Marie était un sujet français qui estimait avoir fait l'objet d'expériences chimiques
ou assimilées par le biais de l'armée de son pays dans le contexte de la guerre avec l'Algérie... (Il y eut un moment de silence qui
trahissait la stupéfaction).
Pour le moment, je ne pourrai pas entrer dans les détails du pourquoi et du comment ou du contexte (mais je suis persuadé qu'il refera bientôt
surface) mais nous déplorons aussi le décès de Chantal Pouponneau qui avait joué un rôle primordial dans une grosse affaire de son domaine,
que j'allais bientôt partager... et de son mari, Frank Boitte, une
ancienne grosse pointure des enquêteurs de la défunte SOBEPS. Petite précision : Frank Boitte était - disons - en désaccord avec le
journaliste de l'émission de l'infamie. Il a bien entendu été impliqué dans la même grosse affaire qui aboutit, en bout de course, dans un
ministère ! Mais il m'a aussi aidé à mettre le doigt sur certaines incohérences de l'affaire d'Arc-Wattripont. Lui aussi m'avait mis
en garde quant à notre enquête et lui aussi avait parlé du "gardien du seuil" (Murmures bruyants dans l'assistance). Pensez-vous
que ce soit tout ? Nenni ! Nous déplorons aussi les décès de Lucien Clerebaut,
l'ancien secrétaire général de la SOBEPS, peut-être sans aucun rapport, et celui de Jean-Luc Vertongen, l'ancien chef du
réseau d'enquêtes de la SOBEPS, lequel habitait quasi à côté de chez moi, du côté de Thoricourt, ami de Frank Boitte et certainement impliqué
dans la grosse affaire dont j'ai parlé sans en donner la substance, mais peut-être - je dis bien "peut-être" - en rapport avec Arc-Wattripont.
Coïncidence ou pas, notre ami Mario Solice est aussi parti de l'autre côté, lui qui lors d'une réunion chez Jean-Marie avait retrouvé le nom
de Klingsor, que tout le monde avait sur le bout de la langue sans parvenir à le cracher... Dois-je aussi vous entretenir de Daniel Recolet
avec qui j'entretenais des rapports qui avaient des hauts et des bas, mais qui était incontestablement calé en matière de communications
et je vous demanderai de retenir ce terme de "communications" pour en tenir compte dans vos recherches.
Sans compter Francine Culot, l'assistante du précité, ou encore d'autres membres du CERPI tels que Ralph Goessens, Paul Derobertmasure et Angel Keymeulen... J'insiste sur
le fait qu'il peut très bien n'y avoir aucun rapport, aucun lien de cause à effet. Mais ce sont des faits indéniables.
Mais revenons, sur le plan pragmatique, à nos moutons du tournaisis. Or donc, Éric Barbé fait
état de "communications" avec la Vierge, voire d'une apparition (et d'un autre événement semblable et jusqu'ici passé sous silence, sur
lequel il faudra immanquablement revenir) que moi j'interprète comme une usurpation d'identité et à ce sujet je vous renvoie à l'étude de
Daniel Robin concernant les apparitions de Fatima.(
+ film +
vidéo interview). Dans ce dernier cas, si mes souvenirs sont bons il s'agissait d'un amiral ou d'un contre-amiral et l'affaire passait aussi
par les services secrets,
Gilles Pinon, étrange, non ? étrange aussi que Philippe Simoulin, le journaliste de la première heure (et en même temps de la DH) ou "découvreur de
l'affaire d'Arc-Wattripont", présent dans l'affaire des crop-circles, ait vu que les pylônes électriques rejoignaient une base militaire
située près de l'ancien radar de La Houppe et à proximité de laquelle on trouve, outre un restaurant, une grotte dédiée... à la Vierge !
En conclusion de ce débriefing, je dirai que pour le moment nous nous contenterons de suivre un peu
paradoxalement le rasoir d'Ockham pour évoquer l'hypothèse du poltergeist, avec le phénomène catalytique d'extériorisation de C-G Jung
et le modèle de l'information pragmatique de Walter Von Lucadou. Ce sera, par défaut, la thèse que nous défendrons mais je me réserve le
droit de soulever une hypothèse alternative qui, le cas échéant, risque de "déménager" grave ! Y a t'il des questions ?
"Oui : vous semblez vouloir dire que poursuivre l'enquête peut présenter des risques pour les enquêteurs.
Pouvez-vous développer ?"
"Je pense avoir été très clair à ce
sujet. L'affaire d'Arc-Wattripont n'est probablement pas UNE affaire mais un ensemble d'affaires conjointes ou connexes. Je pense avoir
assez fait allusion à l'armée dans le cadre d'une grande affaire, or ce sont principalement des gendarmes qui sont intervenus, c'est-à-dire des
militaires ! La K7 a été falsifiée probablement afin de dissimuler un secret d'état. L'affaire du dispatching qui suggère
l'utilisation éventuelle d'une caméra ne tient pas du tout la route puisqu'il avait été dit que cela s'était fait à l'initiative des
gendarmes qui en avaient marre de rencontrer l'incrédulité de leur hiérarchie. La K7 aurait été immédiatement emportée par l'adjudant G. Mais cela n'a pas empêché le
"cinéaste" de faire une copie - pas de chance, elle est foutue; Jacques Théodor aussi avait une copie dans son garage. Bref, tout le monde détient tout, tout le monde
ment, se contredit, même les propriétaires (actuellement tous deux décédés et remplacés par... oui : des militaires !) Les câbles électriques
mènent à une base... militaire. Toutes les pistes mènent potentiellement à des dangers, dont certains ne sont pas piqués des vers"
"Et dans ce cas vous voudriez que l'on poursuive malgré tout ? N'est-ce pas nous envoyer au
casse-pipe ? Ce qui n'est pas dans vos habitudes..."
"Non, il n'en est pas question, naturellement, sauf sur le plan théorique. Plus question d'aller
sur place ni d'opérations style kakapo. Pour ma part, j'ai déjà la réponse fondamentale, qui fera abstraction des volets litigieux (on y
reviendra après... Pardon : j'y reviendrai après ! Je la développerai tout prochainement et les choses deviendront limpides...
apparemment du moins. Le reste devra être étudié en coulisses et non officiellement. De toute façon, avec le décès des
propriétaires, nous ne sommes plus mandatés. Mais d'ici peu, le brouillard va se dissiper, la clarté va éclore comme une belle rose,
sauf qu'elle aura des pétales de différentes couleurs. Bien sûr, je parle de manière imagée, mais vous comprendrez mieux d'ici peu..."
"Donc, nous on ne fait plus rien ?"
"Bien au contraire vous avez un sacré pain sur la planche et notamment au travers des points sur
lesquels j'ai insisté ce soir. Il faut rassembler un max de doc sur ces éléments et puis patienter en attendant que tout se dévoile, mais
attention les yeux !"
"Comment voulez-vous que l'on enquête sur la lettre M ?"
"Mais comme vous voulez, vous avez le choix des mots-clés. Par exemple Moloch, Marie, apparitions Mariales,
mariage, mirage, mère, marmaille, militaire, mouvement, médias, francs-Maçons, Mars...
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